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Louise et Bruno déjà porteurs de la vision du "militant-fil-rouge" et du chef génial

Dans cette partie, nous allons voir que si Peter a cédé à Louise sur plusieurs plans, par contre il continue à être d'accord avec le SI quand il ne s'agit pas des problèmes de Louise. En particulier, il continue à critiquer avec le SI les prises de position de Bruno et les conceptions erronées sur le travail du SE, c'est-à-dire sur la centralisation et le travail collectif. Par contre Louise continue son entreprise contre l'organisation faite maintenant d'accusations contre les camarades du SE et contre l'organisation. Bruno s'affirme comme son lieutenant.

1) La "maladie" de Louise ? Une arme de combat contre l'organisation

SI du 16/5/00 :

Olivier : "on est allé voir Louise dimanche Bruno et moi-même. Son état est inquiétant. Louise nous a dit qu'elle n'a plus confiance dans l'organisation. Elle a une vision très individualiste. Elle n'a pas confiance en un tel ou un tel, Aglaé pour ceci, Stanley pour autre chose. Elle trouve que les camarades sont suivistes. [c'est bien la confirmation du travail de sape, destructeur, contre les membres du SE qui continue]. Elle remet en cause ce qu'on avait déterminé l'année dernière. Elle remet en question l'analyse de la dynamique clanique de l'an dernier [Pourquoi donc sinon pour évacuer sa propre responsabilité dans cette dynamique et surtout pour reprendre l'opposition au SI maintenant possible puisque Peter ne suit plus la politique du SI contrairement à septembre 99 ?]. Elle dit qu'elle avait fait confiance dans Bruno sur la crise économique, que ce n'était pas du clanisme. C'est un fond de dépression. En fait, elle a commencé à dire "tout va très bien, le couple, ma fille, c'est l'organisation en qui je n'ai pas confiance". [Olivier revient sur la dépression à tort. Louise n'est pas malade à ce moment-là. Pour elle, les problèmes ne sont plus dans le couple, chez Peter, mais dans l'organisation. En fait, depuis que Peter ne suit plus la politique du SI sur la mise en évidence des problèmes de militantisme et du SE. Notons que la confusion consciente entre problèmes personnels et politiques s'exprime ouvertement]

"A la fin elle a dit qu'elle allait mieux, se sentait remontée. C'est une situation grave et difficile. Elle ne voit pas où est le problème et elle met sur le dos de l'organisation des problèmes personnels. Elle fait un homme de paille, un amalgame de tas de choses. C'est l'organisation qui sert d'exutoire."

Peter confirme ce que dit Olivier. Ce n'est donc pas une invention du soi-disant clan.

Peter:" je partage ce que dit Olivier. C'est cyclique. Ce week-end elle a travaillé sur les notes du congrès. C'est la partie sur les votes, etc. ça l'a plutôt démoralisée". [Peter confirme aussi que Louise déprime quand elle n'est pas "d'accord" avec l'organisation et qu'elle va mieux quand l'organisation sert d'exutoire]

Olivier:" j'avais oublié de dire qu'elle nous a dit que Peter [lui] avait dit qu'on avait parlé d'elle au SI. Tu n'aurais pas du le faire. Les compagnons ne sont pas les meilleurs dans ce genre de situation. Tu crois que tu vas régler le problème, c'est faux [Olivier critique donc la politique personnelle que mène Peter envers les problèmes politiques de Louise]. Comme a dit Jonas c'est toi qui te laisses entraîner dans les difficultés de Louise. Ca a le goût, ça a l'odeur de la politique, comme le Canada dry, mais ce n'est pas de la politique !"

Elise: "éviter les discussions dans ce genre de situation ce n'est pas une nouveauté !" [Elise se réfère explicitement aux règles de fonctionnement et de comportement du CCI et aux leçons particulières de 93 qu'ignore allègrement Peter (et bien sûr Louise)]

Jonas: "(...) Tu ne te rends même pas compte qu'il y a des choses qu'il ne faut pas raconter à ta compagne. On a dénoncé, critiqué, massacré les fameux circuits parallèles [en 93]. Tu nous fais le même coup. Pourquoi le camarade Peter ne peut plus retenir sa langue ? Si la camarade Louise barjote [délire] sur le fait qu'au SI on discute d'elle, ce sera de sa faute" [celle de Peter] (...). Le camarade Peter il nous fait son RV (Adrien). RV on le mettait dehors [lors des discussions sur le clan-pavillon, Simon et SK] pour ne pas qu'il répète ce qu'on disait à sa compagne (...)".

Peter: "je voudrais que les camarades arrêtent de faire des amalgames et des comparaisons qui n'ont pas lieu d'être. A l'époque où on a évoqué notre séparation, on a comparé à Elise et Simon. Simon était un aventurier. Quant à Adrien-SK, on avait qualifié cette dernière d'intrigante travaillant pour le compte de Simon. Je demande aux camarades de ne pas faire d'amalgame." [Faux. Nous savons qu'il n'y a pas eu d'amalgame, cf. les 6e et 7e chapitres de cette histoire. Par contre, contrairement à septembre 99, le camarade Peter commence à reprendre explicitement les thèmes favoris de Louise. C'est lui qui fait l'amalgame. Comme Louise en septembre 99 ! Jonas fait une référence explicite à une leçon particulière du combat de 93. Peter fait l'outragé pour ne pas aborder la vraie question : ses discussions informelles et de couple sur l'organisation et ses problèmes de fonctionnement. Bref les habitudes de cercle. La situation change rapidement. Peter ne résiste plus au travail de sape de Louise. Il la suit totalement. Le couple "va bien". De mieux en mieux à vrai dire. Mais aux dépens de l'organisation et au profit de Louise.]

2) La bataille contre les résistances du SE pour ouvrir le débat

Michel : "Maintenant, le congrès est passé et quoi : toujours aucune répercussion de Bruno et de ses états d'âme et de ses réserves. On a entendu parler d'une contribution de Louise, et on ne sait pas où elle est. Le SE doit se prendre en main, se réorganiser, tout nous amener sur la table."

Olivier: "le SE a décidé de donner les textes à la CE avant et attend son avis." [on voit la résistance du SE qui s'affirme encore par Olivier lui-même, le délégué du SE au SI]

Michel: "mais pourquoi on ne le donne pas au SI ? Les contributions des membres de la CE sur le texte du SI auraient dû déjà être publiées dans le BIRI ! Même s'il y a des corrections à faire ensuite, ça ne fait rien, que la discussion se mène. Là on va attendre 15 jours ou 3 semaines ou plus que les membres de la CE donnent leur avis pour qu'on puisse entrer dans la discussion !? Il faut que les documents circulent."

Olivier:" mais il faut une présentation de la CE."

Elise:"Mais on peut les donner au SI quand même !"

Michel: "il faut ouvrir les fenêtres, que tout le monde discute ; le congrès a largement montré la maturité de la section en France pour discuter cartes sur table les questions de fonctionnement. Il faut peut-être ménager les camarades fragilisés comme la camarade Louise, mais pas tout le monde et surtout pas la CE, ni même le SE comme un tout. Il n'y a pas de cadavres dans les placards comme à l'époque du débat il me semble, ou alors je suis un gros naïf et quelque chose m'échappe." [Michel sent bien qu'il y a des non-dits et des discussions parallèles].

3) Le texte de Bruno (BII 276)

Le SI est scandalisé par le texte de Bruno qui porte des attaques contre les camarades du SE qu'il traite de suivistes.

SI du 23/5/00 :

Jonas : "J'ai eu honte. Selon ce texte, à part deux ou trois [camarades du SE], les autres c'est des abrutis, [des idiots] ils ne comprennent rien. C'est ce que j'interprète de son texte. Je parlais de relents de la minorité positive, c'est la minorité positive : on traitait les "académistes", les "unanimistes gestionnaires", etc. Là je peux citer des tas de passages, honnêtement j'ai honte, comment un camarade en est arrivé à ce point. [citations du texte de Bruno] Je trouve que le texte du SI est gentil par rapport à ce qui est dit. S'il y a quelque chose qui fout la merde dans l'organisation et le SE c'est ça. [Bruno vient de reprendre la thèse de Louise sur l'état du SE et de ses membres. Peter, nous l'avons vu, y a apporté sa petite pierre "théorico-historique" le 18/4/00. Il apparaît de plus en plus que, si en apparence les choses sont plus calmes, Louise, Bruno et Peter établissent et discutent d'une politique envers l'organisation, dans son dos, sans poser ouvertement les questions].

Michel: "c'est totalement inadmissible. Soit il retire son texte, soit on le publie dans le BII en le dénonçant. J'en ai plein le cul, ras le bol, si les camarades sont barges [malades, fous], il faut qu'ils se fassent soigner."

Juan: "je suis d'accord. Je crois que Bruno est honnête. Il ne se rend pas compte. Il faut le publier. Il faut que l'ensemble de l'organisation prenne position, que l'ensemble des camarades se prononce dessus. Si on lui demande simplement de retirer il va le faire par discipline, mais pas comprendre (...). C'est en posant ces questions là ouvertement, en faisant que les camarades prennent position que ça avancera. Ca gangrène les camarades [du SE] et ça les affaiblit. Une telle attitude de manque de confiance ça transpire. Ce n'est pas sous estimer la situation, c'est la prendre dans sa dimension réelle."

(…)

Jonas: "il faut donner notre position et c'est le meilleur moyen de redonner confiance [aux membres du SE] en eux-mêmes. Sinon, on les laisse s'écrouler, car démoralisés par la situation."

Peter: "il faut immédiatement envoyer ce texte aux membres de la CE et attendre les réactions des membres. Si le SI prend les devants, Bruno va rester sur son idée de suivisme et de passivité s'il voit le SI prendre position en premier..."

On voit là clairement quelles étaient le souci et la préoccupation d'un SI qui voit la situation pourrir sur elle-même : il faut l'ouverture à tout le CCI. Et c'est bien là-dessus qu'il y a une résistance et une obstruction jamais clairement exprimée. Est-ce une question de méthode habituelle et classique du CCI ? Ou bien est-ce la manifestation d'un soi-disant "SI-clan" qui veut prendre l'organisation en otage comme on nous le présente aujourd'hui ?

Dans sa dernière intervention, Peter exprime une réticence à ce que le SI assume une position plus affirmée, "en premier". Pourquoi ne veut-il pas que le SI assume son rôle ?

4) L'offensive contre l'organisation se précise

SI du 30/5/00 :

Arrive un SE élargi qui va être important. Pour le SI, suivant en partie Peter d'ailleurs, il faut que la CE et le SE prennent en main cette discussion avec Bruno et Louise. Elise résume la position du SI alors :

"Il faut nommer quelqu'un du SI pour aller à ce SE élargi. Je propose le camarade Jonas. Je suis d'accord qu'il faut laisser la CE se reprendre mais il faut quand même donner un cadre à la discussion. Le cadre c'est le texte du SI [est-ce alors la position de Peter ? Il ne dit rien contre en tout cas]. Donc dans ce que va écrire Stanley, il faut partir de cette question de travail collectif. Par exemple, Bruno dans son texte, indépendamment de son état d'esprit déplorable, dit que le SI parlerait de "régression sur la centralisation". On ne dit pas ça. Nulle part. Et le fond du problème posé ce n'est pas la centralisation mais le travail collectif. En plus le fonctionnement d'une organisation, c'est un combat permanent, donc quand on se critique on ne dit pas "régression" mais on subit des pressions permanentes. Donc au niveau du cadre il n'y a pas de mise en accusation de telle ou telle partie de l'organisation. Dans les deux positions, de Louise et de Bruno, ça c'est absent. On a toujours dit que dans le collectif tout le monde n'est pas égal mais dans le collectif la force ne vient pas des plus expérimentés mais la force vient justement du collectif et c'est quelque chose qui dépasse les capacités de chaque individu aussi expérimenté et intelligent qu'il soit. [Le pré-rapport de la CI développe une vision contraire tout comme le Texte d'orientation "sur la confiance" - cf. Revue internationale 111 - selon lequel "les forts protègent les faibles". La théorie du "militant-fil-rouge" n'est pas encore défendue ouvertement par Peter] Cela est perdu de vue dans les interventions des camarades. On ne voit que des "on" ceci "on" cela, indifférencié. Mieux vaudrait vraiment faire de la polémique en citant nommément qui on attaque, ce serait plus sain [et moins destructeur] (1). Quant à la CE, il faut que les discussions s'y développent. Les dernières CE, ça fait plusieurs années où on ne développe pas vraiment la discussion, c'est des tas de points à l'ordre du jour qu'on ne discute pas ! Donc donner 4h pour la discussion au SE élargi, c'est bien.

Dans la contribution au congrès, Louise met l'immédiatisme dans les causes des difficultés du SE, OK mais ça reste le cadre général donné aussi par le BI plénier ; Bruno lui met le localisme, c'est déjà un peu moins valable. Mais du coup tout est dans tout. Lorsque nous avons dit que le SE avait le nez dans le guidon [qu'il était pris par l'activité au quotidien sans recul], ça ne venait pas en soi d'un immédiatisme mais de la forme particulière prise dans le SE de l'immédiatisme et autre. C'est une perte de vue momentanée (on l'espère), je ne sais pas les raisons précises, de ce que c'est le travail collectif. Et pourquoi on le perd de vue, non parce qu'on "régresse" parce que c'est très difficile de faire fonctionner une organisation révolutionnaire."

Que dit Peter suite à cette intervention d'Elise ?

Peter: "je suis d'accord sur ce qu'a dit Elise".

Sur tout ? Sur le texte du SI comme cadre à la discussion ? Sur l'état "d'esprit déplorable" de Bruno ? Sur le travail collectif comme fond du problème et pas la centralisation ? Sur la force qui vient du collectif et non des plus expérimentés ? Sur le fait que les textes de Louise et Bruno ne sont pas sains ? Sur leur méthode du "tout est dans tout" ? Sur leur perte de vue "de ce que c'est le travail collectif" ?

Que pense réellement Peter à ce moment-là ?

5) L'apparition du"militant-fil-rouge"

SI du 15/6/00 :

Michel après le SE élargi (suite aux textes de Bruno et Louise) : "Pour nous, cela doit conforter l'analyse que ça ne va pas au SE et d'une façon plus profonde que dans la contribution du SI. Il faut vraiment que la CE, SE inclus, prenne conscience qu'on a vraiment tous les ingrédients pour qu'éclate une crise ; pour le moment, ça stagne; mais si on ne met pas tout de suite un terme à ce que représente le texte du camarade Bruno, on va dans le platane [dans le mur, à la catastrophe. Il voyait juste] ; donc nous devons mettre un terme à tout doute que cette manière de poser la question (Bruno) aurait une quelconque validité ; sinon c'est terminé : chef génial, on va chez les bordiguistes."

Revoilà le fil-rouge qu'Elise avait déjà relevé chez Louise et Bruno le 30/5/00. Est-ce que le rapport de la CI actuelle aurait raison ? Le thème du fil-rouge serait un point de ralliement clanique contre Peter ? D'ailleurs n'est-ce pas justement Michel après Elise qui soulèvent la question ? La manifestation de l'acharnement clanique ? Ca ne semble pas choquer Peter alors. Au contraire, il semble s'inscrire dans le constat du SI et ne revient pas sur le fil-rouge.

Peter : "Quant à publier immédiatement dans le BIRI : il faut peut-être prévoir deux étapes ; une étape, important que les camarades disent ce qu'ils ont sur le coeur. Si chaque camarade qui veut s'exprimer sur les textes distribués, ils vont rester un peu bridés si on sait que ce sera immédiatement dans le biRI. Mais dans la mesure où on a du mal à identifier la nature des désaccords, ce n'est pas sur la base d'une pensée qui traduit une excitation qu'on va parvenir d'emblée à aller au fond des choses.

Les discussions au sein d'un organe central quand il y a une situation un peu critique, doivent être versées au débat général avec un minimum de décantation, car peut polariser sur des formulations inachevées."

Qu'en termes galants ces choses-là sont dites ! Ainsi, pour Peter, les violentes attaques que portent Bruno et Louise contre l'organisation, contre son tissu, contre ses militants ne sont que des "formulations inachevées" et le fruit d'une "excitation". Aurait-il eu la même attitude politique si cela avait concerné d'autres camarades ? Il est clair que Peter, en suggérant de repousser l'ouverture du débat à toute l'organisation, défend les intérêts de Bruno et Louise. Ses "silences" face au SI révèlent soit, et pour le moins, qu'il est encore tiraillé entre les intérêts de l'organisation et ceux de "ses amis", soit, et pour le pire, qu'il est déloyal.

Elise: "un texte comme celui de Bruno est inadmissible. MC le rentrerait ["l'attaquerait violemment". En général, Elise est plutôt mesurée dans ses propos]. Si c'était une autre section que RI, nous ferions de même. Il faut revenir sur les débats d'avant, qu'on relise les BIRI. Peut-on en parler au SI mensuel de la semaine prochaine ? Et donc, un membre du BI, pas dans RI, pourrait intervenir là-dessus. Il faut alimenter cette discussion, en particulier parce qu'il faut penser aux nouveaux militants aussi. Donc remettre à l'ordre du jour ces questions sur le fonctionnement. Quand même inquiétant !"

Oui, c'est inquiétant. Et pourtant le SI est en-deça de la réalité et en retard. Déjà terriblement en retard. Il paye le coup d'arrêt à la mise en place de la politique décidée par le BI plénier d'avril et le fait que le congrès n'ait pas réussi à poser clairement les "divergences". Ce congrès n'a pas réussi à s'inscrire dans les orientations du 13e congrès du CCI un an plus tôt. Du coup, le SI est habité par un sentiment d'impuissance devant quelque chose qu'il ne comprend pas, qu'il ne s'explique pas. Tour à tour, ses membres vont dans leurs interventions toucher la profondeur et la gravité du problème mais sans jamais entraîner le SI comme un tout dans une politique déterminée et adaptée. Il hésite à poser les problèmes parce qu'il s'agit de RI et parce qu'il sait qu'un passif de contestation à son égard existe. La contestation du SE a fait des dégâts. Il hésite aussi à poser les problèmes car au cœur de ceux-ci se trouvent Louise et Peter. Et que ces derniers résistent. Bref, il a peur du combat politique. Il est timoré et se contente de "faire marcher" l'organisation. Le combat va lui être imposé et il ira à la bataille à reculons. Ce sera catastrophique.


Notes:

1 [Par la suite, quand ce sera fait, par Sarah, par Aglaé, par Leonardo, par Juan, etc... leurs polémiques franches et ouvertes dont tout le monde comprend le sens et contre quelle position elles s'inscrivent, seront dénoncées comme des manifestations de haine personnelle et de clanisme... Sur ce plan aussi, il y a bien deux politiques et surtout deux méthodes]


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